Schieven Regards III

Julian Hills

Projet : « Terdelt Confiné »

Julian Hills – “hools” -, est un photographe autodidacte anglais vivant à Bruxelles, il se dévoue essentiellement à la photographie sociale et caritative.
Au cours des reportages qu’il effectue, ce sont les rencontres avec toutes les personnes présentes – bénévoles, bénéficiaires, … – qui le stimulent, l’enthousiasment, le touchent. Dans l’échange, il trouve des émotions qu’il affectionne et qui l’inspirent.
Il collabore avec des associations telles que ATD Quart monde, Au-delà des Nuages, La fondation contre le cancer, Make a Wish, Bikers for Children, Justine for Kids, Down syndrome foundation, Nos Pilifs, Fondation Lou, Le Huitième Jour, …
Il a publié un livre “ordinary people” en 2017 et a eu de nombreuses expositions depuis 2013.


Thomas Vanoost

Projet : Instabilités

Né en 1982, Thomas Vanoost est un artiste belge utilisant la photographie comme support et travaillant à Bruxelles. Diplômé d’une école de photographie en 2002, il a en parallèle étudié la philosophie, la sociologie et la finance avant de poursuivre une carrière dans le secteur financier. À la suite d’une remise en question existentielle, il se consacre depuis 2015 à son activité de photographe. Profondément influencé par son background en philosophie, son travail cherche à interroger le rapport de l’humain à un monde chaotique en perpétuel mouvement. 


Schieven Regards II

Christophe Martinez

Après avoir abordé la photographie sous un angle plus classique, dans l’esprit reportage, Christophe Martinez a pris un virage à 180° et s’est spécialisé dans le portrait très souvent en noir et blanc. Grâce à sa parfaite maitrise, il nous livre les émotions les plus intimes de ses sujets.
Impossible de rester indifférent face à ces visages et surtout ces regards.
La technique est sans conteste un paramètre incontournable pour réussir une photo, mais il y a également un élément plus subjectif qui fait la différence, c’est la pureté du regard qui  observe.
Un photographe de talent se doit de garder ses yeux d’enfant afin de capter l’invisible et l’émotion sans jugements…
Christophe Martinez possède ce regard !


Michel Kutendakana

Michel Kutendakana est né d’une mère belge et d’un père congolais.
Géomètre et urbaniste de formation, la ville et ses soubresauts font partie de son quotidien professionnel depuis longtemps.
Passionné de photographie, il s’est formé en autodidacte et en suivant des cours ou des stages auprès de différents photographes.
Son regard se porte naturellement sur l’architecture et la manière dont elle façonne notre environnement.
L’humain garde cependant une grande place dans son travail, de manière esthétisante quand il exprime son goût pour la photographie de mode.
Mais ses engagements sociaux lui donnent également une vision plus humaniste de la photographie, attentive aux personnes d’origine diverses qui construisent l’identité originale de Bruxelles, riche de son mélange de cultures.


Schieven Regards I

Lillo Mendola

Lillo Mendola est un photographe d’origine bruxelloise. Après avoir terminé des études à l’Ihecs en 2010, il entame une carrière dans le marketing digital, tout en poursuivant son activité de photographe. 
Après plusieurs années passées en agences, entrecoupées de voyages humanitaires, il décide fin 2015 de se lancer pleinement comme freelance.   

Aujourd’hui, il exerce son métier de photographe au travers de séances portraits, de mariages, d’évènements et par l’organisation de stages photographiques. Lillo se consacre aussi à la création de contenus vidéo et garde un pied dans le marketing digital en tant que consultant. 


Marc Guillaume

Le service de revalidation dans lequel travaille l’épouse de Marc Guillaume accueille généralement des cas assez lourds. Accidentés de la route, trauma post opératoire, maladies ou dysfonctionnements graves, les patients sont rarement de passage car leurs traumatismes demandent un travail de rééducation long et souvent douloureux. Ces femmes, ces hommes, ces enfants sont là pour réapprendre à devenir autonome, à se déplacer, à s’accepter, à entamer une nouvelle vie. Pour se faire ils sont épaulés par une équipe pluridisciplinaire fabuleuse. Ces images peuvent rentrer dans la vision d’un Bruxelles décalé et en marge de la vie courante que la plupart de nous connaissons. Ici, ce n’est pas tant le regard mais les corps qui sont « schieve » et qu’il faut apprendre à redresser.