Schieven Regards II – Christophe Martinez : « Une vision du regard »

Une vision du regard

L’émotion était le fil conducteur de cette exposition de portraits !
Le travail artistique de Christophe Martinez ne vous a pas laissé indifferent.
Des visages, des regard, des émotions vous ont fait voyager.


Après avoir abordé la photographie sous un angle plus classique, dans l’esprit reportage, Christophe Martinez a pris un virage à 180° et s’est spécialisé dans le portrait très souvent en noir et blanc. Grâce à sa parfaite maitrise, il nous livre les émotions les plus intimes de ses sujets.

Impossible de rester indifférent face à ces visages et surtout ces regards.
La technique est sans conteste un paramètre incontournable pour réussir une photo, mais il y a également un élément plus subjectif qui fait la différence, c’est la pureté du regard qui  observe.
Un photographe de talent se doit de garder ses yeux d’enfant afin de capter l’invisible et l’émotion sans jugements…

Christophe Martinez possède ce regard !

Christophe est un des trois photographes invités pour la deuxième édition de l’exposition « Schieven Regard II » qui a l’ambition de « Make Brussels Tof Again ! ».


L’exposition « Schieven Regards II » organisée par le collectif de photographes « Bruxelles Pixels » s’est tenue en octobre 2019 à la galerie « Passerelles ».
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#bruxellespixels #schievenregards


Schieven Regards II – Philippe Clabots : « (Une parcelle de) la campagne à la ville »

Il y aurait près de 300 « potagers urbains » à Bruxelles.
Souvent discrets, parfois jalousement gardés, vous passez très certainement à proximité de certains d’entre-eux lors de vos déplacements dans Bruxelles sans en soupçonner l’existence.
Mon objectif est de vous faire découvrir quelques uns de ces lieux atypiques de la ville et les personnes qui les font vivre.
Qui sont les passionnés qui prennent soins des potagers urbains ? Quelles sont leurs motivations ? Craignent-ils pour l’avenir de ces parcelles de campagne à la ville ?

Je tiens à remercier tous les « potagistes » qui m’ont accueilli avec bienveillance. A chaque fois cela a été un moment d’échange et de passion communiquée.

J’ai l’intention, après l’exposition « Schieven Regards II » qui aura lieu en octobre 2019, de poursuivre ce projet « potagers urbains » à Bruxelles sur une période de temps étendue. A minima couvrir un cycle annuel pour suivre l’évolution de ces espaces au fil des quatre saisons.

Vous pouvez suivre mon projet sur mon site web et ma page Facebook.


Philippe Clabots a toujours été attiré par la photographie mais celle-ci s’est imposée comme une passion il y a près de dix ans.

Autodidacte il s’est formé grâce à des lectures, des groupes Facebook, de la persévérance, la volonté de s’améliorer … et des milliers de photos.

Mais l’élément essentiel de cette progression, ou plutôt voyage initiatique, est les rencontres faites pendant ces années. Rencontre avec des photographes, qui se reconnaitront, mais également, depuis 2014, avec les visiteurs des expositions auxquelles il a le plaisir de particper.

Initialement centré sur la photographie opportuniste, en fonction de son quotidien ou de ses déplacements, il s’oriente de plus en plus vers des suites d’images cohérentes dans le but de raconter une histoire, de transmettre une émotion ou de témoigner d’un moment de vie.

Il est l’un des quatre photographes à avoir mis en place en 2018 le collectif “Bruxelles Pixels“.

Il est également membre du International Photo Club of Brussels “Viewfinders” et de “Ars Varia” qui a pour objectif la diffusion des arts et des idées.

Vous pouvez suivre son actualité sur son site web, sur Instagram ou sur sa page Facebook.


L’exposition « Schieven Regards II » organisée par le collectif de photographes « Bruxelles Pixels » s’est tenue en octobre 2019 à la galerie « Passerelles ».
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Schieven Regards II – Patrice Niset : « Les Eraillures de la Ville »

« On habite toujours un espace clos, on ne court jamais bien loin, les voitures suivent des routes, les trains des rails, les avions, les fusées ne rejoindront jamais l’infini. On se cogne toujours quelque part. »

Régis JAUFFRET – Romancier français (Né en 1955)

Pendant six mois, le photographe Patrice Niset s’est cogné aux limites imposées par le passage du train dans la ville de Bruxelles. L’idée est simple en apparence. Explorer tous les points de connexions entre la ville et le rail. Les chiffres : 100km de voies, 34 gares actives, 3 passages à niveau, des centaines de ponts et tunnels, des milliers de jardins publics ou non. Un perpétuel jeu de cache-cache.

Le chemin de fer est trois fois plus dense en région Bruxelloise que partout ailleurs dans le pays. Les voies ferrées y pourfendent la ville en se frayant un passage souvent dissimulé, régulièrement inaccessible mais qui s’impose avec force. Un espace dont la plupart des humains sont exclus et où quelques exclus trouvent régulièrement refuge. Les Eraillures de la Ville sont les écorchures superficielles de la métropole. Nous les côtoyons tous les jours sans vraiment les connaître. Après les Gens du Canal (projet photographique de 2018), c’est d’une autre forme d’infrastructures urbaines dont le photographe s’est imprégné en profondeur.


L’exposition « Schieven Regards II » organisée par le collectif de photographes « Bruxelles Pixels » s’est tenue en octobre 2019 à la galerie « Passerelles ».
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Schieven Regards II – Michel Kutendakana : « Les fantômes de la colonie »

Dans les cultures africaines, les masques occupent une place importante.
Ils servent de lien entre le visible l’invisible et représentent aussi bien le divin que les forces qui régissent la nature et les passions humaines.
Comme dépositaires de l’ordre naturel et surnaturel ils sont des intermédiaires qui nous transmettent des messages.
Ce travail photographique fait apparaître de nuit devant des endroits qui portent les traces de la colonisation belge, des masques qui rappellent le poids que les africains ont porté durant cette période.

Michel est un des trois photographes invités pour la deuxième édition de l’exposition « Schieven Regard II » qui a l’ambition de « Make Brussels Tof Again ! ».


Michel Kutendakana est né d’une mère belge et d’un père congolais.
Géomètre et urbaniste de formation, la ville et ses soubresauts font partie de son quotidien professionnel depuis longtemps.
Passionné de photographie, il s’est formé en autodidacte et en suivant des cours ou des stages auprès de différents photographes.
Son regard se porte naturellement sur l’architecture et la manière dont elle façonne notre environnement.
L’humain garde cependant une grande place dans son travail, de manière esthétisante quand il exprime son goût pour la photographie de mode.
Mais ses engagements sociaux lui donnent également une vision plus humaniste de la photographie, attentive aux personnes d’origine diverses qui construisent l’identité originale de Bruxelles, riche de son mélange de cultures.


2017 Exposition collective avec l’atelier de photographie Contraste à l’hippodrome de Boitsfort : série consacrée aux projets d’aménagement du site
2017 Exposition « Sublime Bruxelles » organisée par le Ville de Bruxelles à la Bourse. / 1er prix du concours photo autour de l’architecture des boulevards.
2018 Exposition collective de l’atelier Bruxel, Art et Technique de Catherine Minala, à la galerie Verhaeren à Watermael-Boitsfort : Série consacrée aux ponts 2019 Exposition collective de l’Atelier Bruxel, Art et Technique de Catherine Minala, à la galerie Verhaeren à Watermael-Boitsfort : présentation des premières photos de la série « Les fantômes de la colonie »


L’exposition « Schieven Regards II » organisée par le collectif de photographes « Bruxelles Pixels » s’est tenue en octobre 2019 à la galerie « Passerelles ».
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Schieven Regards II : Les artistes invités sont choisis

Le jury, composé de trois voix de personnalités de la photographie à Bruxelles et d’une voix donnée par les artistes résidents de Bruxelles Pixels, a sélectioné, parmis les candidatures reçues suite à l’appel lancé par Bruxelles Pixels, les trois photographes invités  qui se joindront aux photographes résidents pour la deuxième édition de l’exposition « Schieven Regards II ». 

Chaque semaine un des photographes invités rejoindra les photographes résidents pour exposer son « Schieven Regards » sur Bruxelles. Il cédera ensuite sa place à un autre photographe invité et ceci tout au long des trois week-ends de l’exposition « Schieven Regards II » en octobre 2019. 

Nous remercions les membres du jury d’avoir accepté  de nous aider à la mise en place de cette deuxième édition d’un concept qui avait attiré plus de 600 visiteurs en 2018. 

Vous pourrez découvrir les photographes invités qui se joindront au aux photographes résidents, ainsi que les 7 projets qui composeront l’exposition au fil des jours à venir.


L’exposition « Schieven Regards II » organisée par le collectif de photographes « Bruxelles Pixels » s’est tenue en octobre 2019 à la galerie « Passerelles ».
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