Schieven Regards III – Julian Hills : « Terdelt Confiné »

A propos de moi

Je suis Julian Hills – “hools” -, photographe autodidacte anglais vivant à Bruxelles, je me dévoue essentiellement à la photographie sociale et caritative.

Au cours des reportages que j’effectue, ce sont les rencontres avec toutes les personnes présentes – bénévoles, bénéficiaires, … – qui me stimulent, m’enthousiasment, me touchent. Dans l’échange, je trouve des émotions que j’affectionne et qui m’inspirent.

Je collabore avec des associations telles que ATD Quart monde, Au-delà des Nuages, La fondation contre le cancer, Make a Wish, Bikers for Children, Justine for Kids, Down syndrome foundation, Nos Pilifs, Fondation Lou, Le Huitième Jour, …

J’ai publié un livre “ordinary people” en 2017 et j’ai eu plus de nombreuses expositions depuis 2013.

Terdelt confiné

Lors du confinement en mars j’ai vite ressenti le besoin de photographier autre chose que mes chats et mon jardin….

Je vis dans une sympa cité-jardin et via l’association du quartier, j’ai envoyé un appel à mes voisins, leur proposant que je passe devant chez eux les photographier à leur porteou fenêtres; enregistrant ainsi une trace de cette période si particulière.

Beaucoup ont répondu à l’appel et j’ai eu un immense plaisir à passer dans les rues de mon quartier – parfois que je ne connaissais pas – et surtout d’avoir des sympathiques échanges et rencontres.

Lire l’article consacré au projet dans le journal communal de Schaerbeek …



L’exposition « Schieven Regards III » organisée par le collectif de photographes « Bruxelles Pixels » s’est tenue en octobre 2020
à la galerie « Passerelle Louise ».

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Les photographes remercient Colorfields, la COCOF, Mikemuka et Ars Varia pour leur support.

#bruxellespixels #schievenregards #makebrusselstofagain #mikemuka #colorfields_ #cocof #arsvaria


Schieven Regards III – Thomas Vanoost : « Instabilités »

Né en 1982, Thomas Vanoost est un artiste belge utilisant la photographie comme support et travaillant à Bruxelles. Diplômé d’une école de photographie en 2002, il a en parallèle étudié la philosophie, la sociologie et la finance avant de poursuivre une carrière dans le secteur financier. À la suite d’une remise en question existentielle, il se consacre depuis 2015 à son activité de photographe. Profondément influencé par son background en philosophie, son travail cherche à interroger le rapport de l’humain à un monde chaotique en perpétuel mouvement. 

Instabilités 

L’exposition est constituée de 5 photographies en expositions multiples prises entre 2016 et 2019, sélectionnées car elles fonctionnent particulièrement bien ensemble. 

Ce travail photographique en exposition multiple explore le thème de la ville et de ses habitants, ce qui en soit n’est pas particulièrement original. Ce qui fait cependant la spécificité de cette approche, c’est qu’elle cherche à exprimer visuellement le mouvement constant, l’instabilité et l’impermanence de la vie au coeur des grandes métropoles. 

Ma démarche photographique trouve ses sources dans l’ontologie, la branche de la philosophie qui s’intéresse à la nature de l’être, et dans la phénoménologie, qui s’intéresse entre autres à la façon dont le monde se donne à percevoir. Sans entrer dans les détails ni utiliser trop de jargon, je voudrais cependant donner quelques clés de lecture pour expliquer mon approche. 

Le concept central autour duquel s’articule cette série est l’idée selon laquelle toute réalité est intrinsèquement chaotique et instable. Cette vision du monde comme traversé par un mouvement éternel de changement n’a rien de nouveau en philosophie. Héraclite d’Ephèse l’avait déjà formulée au Ve siècle avant Jesus Christ, à travers le concept de « pantha rei », expression qui signifie littéralement « toutes les choses coulent » et qui exprime l’idée d’un monde en mouvement perpétuel. Aujourd’hui, ce concept reste plus que jamais d’actualité. Pour le meilleur et pour le pire, nous vivons dans un monde en changement, qui évolue tellement rapidement que nous ne parvenons pas toujours à en suivre le rythme. Et cependant, nous, êtres humains, avons tendance à le percevoir comme quelque chose de relativement stable et permanent. 

Cette dichotomie est tout à fait paradoxale. D’une part, la réalité se donne à percevoir comme relativement fixe et immuable, alors que d’autre part nous pouvons voir et ressentir le mouvement partout autour de nous. 

Mon travail en expositions multiple Instabilités cherche à rétablir un certain équilibre en tentant d’exprimer visuellement ce chaos, cette instabilité de l’existence. En travaillant les expositions multiples, c’est à dire en photographiant la même scène de ville à travers la temporalité, et en construisant mes images selon le mode du mouvement, je cherche à transmettre cette impression de « pantha rei »



L’exposition « Schieven Regards III » organisée par le collectif de photographes « Bruxelles Pixels » s’est tenue en octobre 2020
à la galerie « Passerelle Louise ».

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Les photographes remercient Colorfields, la COCOF, Mikemuka et Ars Varia pour leur support.

#bruxellespixels #schievenregards #makebrusselstofagain #mikemuka #colorfields_ #cocof #arsvaria


Schieven Regards II : Exposition Photographique par Bruxelles Pixels

Le collectif de photographes « Brussels Pixels » vous invite à l’exposition « Schieven Regards II » qui aura lieu en octobre 2019.

La première édition qui s’est tenue en octobre 2018 (Galerie Passerelles) ainsi qu’en été 2019 (perspective.brussels) a attiré près de 1.000 visiteurs. Nous espérons que vous serez encore plus nombreux à découvrir les 7 nouveaux projets de cette deuxième édition.

Pour cette seconde édition, le collectif de photographes « Bruxelles Pixels » composés de quatre photographes accompagné de trois photographes invités va à nouveau vous proposer une vision décalée de Bruxelles.


7 photographes, 7 projets

Chaque photographe y présentera son projet avec une vision décalée de Bruxelles comme fil conducteur.

Pendant trois semaines un des photographes invités se joindra durant un week-end aux photographes résidents pour exposer son « Schieven Regards » sur Bruxelles. Il cédera ensuite sa place à un autre photographe invité et ceci tout au long des trois week-ends de l’exposition « Schieven Regards II » en octobre 2019. 

Eric Ostermann : « Bruxelles d’ombres et de lumières »
Philippe Clabots : « (Une parcelle de) la campagne à la ville »
Patrice Niset : « Les Eraillures de la Ville »
Sophie Voituron : « Les Funambules »

Hélène Cook : « Happy feet in the metro » (Week-End I : 11-13/10)
Michel Kutendakana : « Les fantômes de la colonie » (Week-End II : 18-20/10)
Christophe Martinez : « Une vision du regard » (Week-End III : 25-27/10)

Quand ?

L’exposition « Schieven Regards II » se déroulera durant les week-ends (vernissage les vendredis) entre le 11 et le 27 octobre 2019.

Vernissages : Vendredis 11-18-25 Oct 2019 à partir de 18h
Expositions : 12-27 Oct 2019 / Samedis et Dimanches de 14h à 19h
Finissage : Dimanche 27 Oct 2019 à partir de 14h

Events Facebook :
Week-End I (11-13/10)
Week-End II (18-20/10)
Week-End III (18-20/10)

Où ?

Gallerie « Passerelle Louise » 
34 Rue Dejoncker, 1060 Bruxelles

Voir l’article


Toute l’information est disponible sur le site web de “Bruxelles Pixels”.
Notre page Facebook vous permet de suivre notre actualité et celle de l’expositions « Schieven Regards II ».

MAKE BRUSSELS TOF AGAIN !

#bruxellespixels #schievenregards #makebrusselstofagain

Schieven Regards II – Sophie Voituron : « Les Funambules »

L’année dernière Sophie Voituron vous présentait les salles de réunions des lieux de pouvoir à Bruxelles, cette année, elle a voulu mettre de la spontanéité et de l’abstraction dans ses photos. Vous découvrirez donc une série de silhouettes humaines rentrant du travail, une fois la nuit tombée, sur les grands boulevards bruxellois. Imprimées à l’encre au charbon sur du papier Awagami, cette série de photos en noir et blanc vous plongera dans le coeur de son univers artistique.


L’exposition « Schieven Regards II » organisée par le collectif de photographes « Bruxelles Pixels » s’est tenue en octobre 2019 à la galerie « Passerelles ».
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Schieven Regards II – Eric Ostermann : « Bruxelles d’ombres et de lumières »

Eric Ostermann est l’un des artistes résidents de Bruxelles Pixels.

Durant l’exposition collective Schieven Regards I en 2018-2019 il nous présentait une série de Bruxelles vue d’en haut, photographiée depuis les toits.

Ayant pris pour habitude de se promener dans la ville dès que l’occasion se présente, Eric s’est mis à travailler sur ce qui deviendra son sujet de cette année, les ombres et lumières dans les rues de Bruxelles.

A différents moments, le matin ou l’après-midi, quand le soleil nous fait le plaisir de nous offrir ses rayons, les rues de Bruxelles s’illuminent, et aux détours des rues, des ombres imposantes se créent et offrent de jolies scènes à photographier.

Eric Ostermann photographie Bruxelles depuis de nombreuses années, vue d’en haut ou d’en bas, Bruxelles est son principal sujet photographique.

Son travail est visible sur facebook, sur instagram et sur son site internet.

Expositions

2014 – Expo resto « chez Albert » — Ixelles
novembre 2016 – expo collective « ars varia » Galerie passerelle Louise – Saint Gilles
mai 2017 – Expo au Parlement Bruxellois – fête de l’iris – Bruxelles
mai 2017 – Expo Hellhole event au GC Elzenhof -Ixelles
novembre 2017 – Expo à l’accueil Français de Bruxelles – Uccle
avril 2018 – 6ème biennale d’art contemporain « ars varia » – Espace Delahaut – Evere
octobre 2018 – Expo Schieven regards – Collectif photo Bruxelles-pixels « ars varia » – Saint Gilles
Novembre 2018 – Expo Brussels Unfolded – Galerie Jos Joos – Bruxelles
Juin 2019 — Expo Schieven regards – chez Perspective brussels – Bruxelles


L’exposition « Schieven Regards II » organisée par le collectif de photographes « Bruxelles Pixels » s’est tenue en octobre 2019 à la galerie « Passerelles ».
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Schieven Regards II – Christophe Martinez : « Une vision du regard »

Une vision du regard

L’émotion était le fil conducteur de cette exposition de portraits !
Le travail artistique de Christophe Martinez ne vous a pas laissé indifferent.
Des visages, des regard, des émotions vous ont fait voyager.


Après avoir abordé la photographie sous un angle plus classique, dans l’esprit reportage, Christophe Martinez a pris un virage à 180° et s’est spécialisé dans le portrait très souvent en noir et blanc. Grâce à sa parfaite maitrise, il nous livre les émotions les plus intimes de ses sujets.

Impossible de rester indifférent face à ces visages et surtout ces regards.
La technique est sans conteste un paramètre incontournable pour réussir une photo, mais il y a également un élément plus subjectif qui fait la différence, c’est la pureté du regard qui  observe.
Un photographe de talent se doit de garder ses yeux d’enfant afin de capter l’invisible et l’émotion sans jugements…

Christophe Martinez possède ce regard !

Christophe est un des trois photographes invités pour la deuxième édition de l’exposition « Schieven Regard II » qui a l’ambition de « Make Brussels Tof Again ! ».


L’exposition « Schieven Regards II » organisée par le collectif de photographes « Bruxelles Pixels » s’est tenue en octobre 2019 à la galerie « Passerelles ».
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Schieven Regards II – Philippe Clabots : « (Une parcelle de) la campagne à la ville »

Il y aurait près de 300 « potagers urbains » à Bruxelles.
Souvent discrets, parfois jalousement gardés, vous passez très certainement à proximité de certains d’entre-eux lors de vos déplacements dans Bruxelles sans en soupçonner l’existence.
Mon objectif est de vous faire découvrir quelques uns de ces lieux atypiques de la ville et les personnes qui les font vivre.
Qui sont les passionnés qui prennent soins des potagers urbains ? Quelles sont leurs motivations ? Craignent-ils pour l’avenir de ces parcelles de campagne à la ville ?

Je tiens à remercier tous les « potagistes » qui m’ont accueilli avec bienveillance. A chaque fois cela a été un moment d’échange et de passion communiquée.

J’ai l’intention, après l’exposition « Schieven Regards II » qui aura lieu en octobre 2019, de poursuivre ce projet « potagers urbains » à Bruxelles sur une période de temps étendue. A minima couvrir un cycle annuel pour suivre l’évolution de ces espaces au fil des quatre saisons.

Vous pouvez suivre mon projet sur mon site web et ma page Facebook.


Philippe Clabots a toujours été attiré par la photographie mais celle-ci s’est imposée comme une passion il y a près de dix ans.

Autodidacte il s’est formé grâce à des lectures, des groupes Facebook, de la persévérance, la volonté de s’améliorer … et des milliers de photos.

Mais l’élément essentiel de cette progression, ou plutôt voyage initiatique, est les rencontres faites pendant ces années. Rencontre avec des photographes, qui se reconnaitront, mais également, depuis 2014, avec les visiteurs des expositions auxquelles il a le plaisir de particper.

Initialement centré sur la photographie opportuniste, en fonction de son quotidien ou de ses déplacements, il s’oriente de plus en plus vers des suites d’images cohérentes dans le but de raconter une histoire, de transmettre une émotion ou de témoigner d’un moment de vie.

Il est l’un des quatre photographes à avoir mis en place en 2018 le collectif “Bruxelles Pixels“.

Il est également membre du International Photo Club of Brussels “Viewfinders” et de “Ars Varia” qui a pour objectif la diffusion des arts et des idées.

Vous pouvez suivre son actualité sur son site web, sur Instagram ou sur sa page Facebook.


L’exposition « Schieven Regards II » organisée par le collectif de photographes « Bruxelles Pixels » s’est tenue en octobre 2019 à la galerie « Passerelles ».
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Schieven Regards II – Patrice Niset : « Les Eraillures de la Ville »

« On habite toujours un espace clos, on ne court jamais bien loin, les voitures suivent des routes, les trains des rails, les avions, les fusées ne rejoindront jamais l’infini. On se cogne toujours quelque part. »

Régis JAUFFRET – Romancier français (Né en 1955)

Pendant six mois, le photographe Patrice Niset s’est cogné aux limites imposées par le passage du train dans la ville de Bruxelles. L’idée est simple en apparence. Explorer tous les points de connexions entre la ville et le rail. Les chiffres : 100km de voies, 34 gares actives, 3 passages à niveau, des centaines de ponts et tunnels, des milliers de jardins publics ou non. Un perpétuel jeu de cache-cache.

Le chemin de fer est trois fois plus dense en région Bruxelloise que partout ailleurs dans le pays. Les voies ferrées y pourfendent la ville en se frayant un passage souvent dissimulé, régulièrement inaccessible mais qui s’impose avec force. Un espace dont la plupart des humains sont exclus et où quelques exclus trouvent régulièrement refuge. Les Eraillures de la Ville sont les écorchures superficielles de la métropole. Nous les côtoyons tous les jours sans vraiment les connaître. Après les Gens du Canal (projet photographique de 2018), c’est d’une autre forme d’infrastructures urbaines dont le photographe s’est imprégné en profondeur.


L’exposition « Schieven Regards II » organisée par le collectif de photographes « Bruxelles Pixels » s’est tenue en octobre 2019 à la galerie « Passerelles ».
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Schieven Regards II – Hélène Cook : « Happy feet in the metro »

Invitée en 2018-2019 avec sa série « Brussels Underground » qui mettait en évidence les œuvres artistiques du métro bruxellois au travers des mouvements de véhicules et de passagers, Hélène Cook revient pour la saison 2 de Schieven Regards avec une nouvelle série présentant un tout autre aspect du métro : les pieds des passagers, mais pas n’importe lesquels, ceux qui sortent de l’ordinaire !

Pour la photographe, utilisatrice régulière des transports en commun, le métro est une source d’inspiration photographique privilégiée à Bruxelles. Et observer les voyageurs peut réserver bien des surprises.

Equipée pour cette série d’un petit appareil photo discret, Hélène traque les pieds originaux dans le métro: baskets colorées rigolotes, derby branchés ou hauts talons, bottes diverses, chaussures non identifiées… Elle nous montre que le métro est un lieu qui reflète la diversité bruxelloise.

Elle tente d’isoler des pieds des passagers qui attendent sur le quai ou montent ou descendent des wagons pour souligner l’humain en tant qu’individu dans la masse des voyageurs. Le point commun de toutes les photos de sa série est l’objectif braqué sur une paire de chaussures avec comme décor de fond le quai ou le wagon et toujours la ligne de délimitation de la bordure du quai pour situer le contexte du métro et ajouter une perspective dynamique à ses prises de vue.

Bruxelloise d’adoption d’origine française, Hélène s’est mise à la photographie un peu par hasard il y a quelques années. Membre du Viewfinders Photography Club of Brussels, elle a un penchant particulier pour les paysages urbains et la photographie de rue, mais pas seulement. Vous pouvez la suivre sur son site internet www.helene-cook.eu , sa page Facebook Hélène Cook Photographie et sur son compte Instagram helenecookphoto .

Quelques unes de ses photos ont été primées et exposées lors de concours à Bruxelles (Bruxelles Patrimoine 2018, Visions of Europe du Parlement européen 2019, Prix du jury new shop « horizontal » de Labo Linea).

Hélène est une des trois photographes invités pour la deuxième édition de l’exposition « Schieven Regard II » qui a l’ambition de « Make Brussels Tof Again ! ».


L’exposition « Schieven Regards II » organisée par le collectif de photographes « Bruxelles Pixels » s’est tenue en octobre 2019 à la galerie « Passerelles ».
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Schieven Regards II – Michel Kutendakana : « Les fantômes de la colonie »

Dans les cultures africaines, les masques occupent une place importante.
Ils servent de lien entre le visible l’invisible et représentent aussi bien le divin que les forces qui régissent la nature et les passions humaines.
Comme dépositaires de l’ordre naturel et surnaturel ils sont des intermédiaires qui nous transmettent des messages.
Ce travail photographique fait apparaître de nuit devant des endroits qui portent les traces de la colonisation belge, des masques qui rappellent le poids que les africains ont porté durant cette période.

Michel est un des trois photographes invités pour la deuxième édition de l’exposition « Schieven Regard II » qui a l’ambition de « Make Brussels Tof Again ! ».


Michel Kutendakana est né d’une mère belge et d’un père congolais.
Géomètre et urbaniste de formation, la ville et ses soubresauts font partie de son quotidien professionnel depuis longtemps.
Passionné de photographie, il s’est formé en autodidacte et en suivant des cours ou des stages auprès de différents photographes.
Son regard se porte naturellement sur l’architecture et la manière dont elle façonne notre environnement.
L’humain garde cependant une grande place dans son travail, de manière esthétisante quand il exprime son goût pour la photographie de mode.
Mais ses engagements sociaux lui donnent également une vision plus humaniste de la photographie, attentive aux personnes d’origine diverses qui construisent l’identité originale de Bruxelles, riche de son mélange de cultures.


2017 Exposition collective avec l’atelier de photographie Contraste à l’hippodrome de Boitsfort : série consacrée aux projets d’aménagement du site
2017 Exposition « Sublime Bruxelles » organisée par le Ville de Bruxelles à la Bourse. / 1er prix du concours photo autour de l’architecture des boulevards.
2018 Exposition collective de l’atelier Bruxel, Art et Technique de Catherine Minala, à la galerie Verhaeren à Watermael-Boitsfort : Série consacrée aux ponts 2019 Exposition collective de l’Atelier Bruxel, Art et Technique de Catherine Minala, à la galerie Verhaeren à Watermael-Boitsfort : présentation des premières photos de la série « Les fantômes de la colonie »


L’exposition « Schieven Regards II » organisée par le collectif de photographes « Bruxelles Pixels » s’est tenue en octobre 2019 à la galerie « Passerelles ».
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